Espagne et toute une vie de reporter de guerre : est-ce la liberté retrouvée en ma seconde patrie ?



de

Éditeur :

Fenixx Réédition Numérique (Lettres du Monde)


Paru le : 1979-01-01



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Description
Il est libéré quelques temps plus tard par le juge d’instruction Borel, avant l’envahissement de la zone — dite libre — par les troupes allemandes, en violation des clauses d’armistice. Dès sa libération, il gagne les premiers maquis en formation dans l’Ain et le Haut-Jura, sous les ordres du colonel Henri Romans-Petit. Il décide également, et sans plus tarder, de créer le journal clandestin Bir-Hakeim. Journaliste libre, André Jacquelin, n’ayant jamais accepté de se soumettre aux notes d’orientation, pas plus qu’à la censure de l’occupant et du gouvernement de Vichy — peut ainsi, et enfin, écrire en toute liberté et crier la vérité. Par la suite, Bir-Hakeim devait faire dire à Philippe Henriot à la radio de Vichy : « Le journal clandestin Bir-Hakeim est trop bien fait, imprimé sur un trop beau papier, illustré de surcroît de nombreux clichés des opérations ennemies, pour être fait en France ». Bir-Hakeim devait également déchaîner les colères de Marcel Déat, de Jean-Hérold Paquis, de Georges Suarez, de Robert Brasillach, etc... dans tous les grands quotidiens parisiens à la solde des Allemands. Malgré toutes les recherches de la Gestapo et de la Milice de Pétain-Darnand, André Jacquelin échappe miraculeusement aux griffes de Klaus Barbie — chef de la Gestapo de Lyon — et de Paul Touvier, chef de la Milice lyonnaise. Le journal clandestin Bir-Hakeim compte, hélas, 21 martyrs.
Pages
292 pages
Collection
n.c
Parution
1979-01-01
Marque
Fenixx Réédition Numérique (Lettres du Monde)
EAN papier
9782307057130
EAN EPUB SANS DRM
9782307057130

Prix
7,99 €

André Jacquelin est un des premiers journalistes à répondre à « l’Appel » du 18 juin 1940, lancé de Londres par le général De Gaulle. Il est aussi un des premiers à être arrêté sur l’ordre des autorités du gouvernement de Vichy. Écroué à la prison Saint-Paul de Lyon, sous le numéro 6789, le 5 octobre 1942, après avoir subi — pendant deux jours et une nuit — au siège même de la 10e Brigade politique du 27, quai Perrache, de pénibles sévices de la part des policiers à la solde de Pétain, c’est en bien triste état physique qu’André Jacquelin fut traîné dans la cellule 56.

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